[Cet article est la deuxième partie du reportage réalisé à bord du Carthage, publié une première fois en juin 2012, auquel vous pouvez accéder en cliquant ici] Après 4 jours passés sur le sol tunisien, nous nous dirigeons vers le terminal ferries de La Goulette. Ce temps en Tunisie nous a permit de revoir principalement La Marsa et Tunis.
Avant de prendre le chemin du terminal, nous prenons notre déjeuner dans le centre-ville de la Goulette. Il fait chaud (plus de 30°C). Bien plus qu'à Marseille où nous arriverons le lendemain. Le terminal de La Goulette est très agréable: spacieux, lumineux, avec l'air conditionné. Les contrôles poussés: passeport et bagages (ce qui est normal pour des lignes internationales) effectués, nous nous dirigeons vers la salle d'attente située à côté du quai où est amarré le Carthage. C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le Rhapsody, que j'ai toujours connu sous le nom de Napoléon Bonaparte, à Gênes en avril dernier. Après son accident dans le port de Marseille (en octobre 2012), qui avait conduit à sa sortie de la flotte de la SNCM, il avait été vendu au groupe MSC puis remorqué vers Naples en mai 2014, où il avait été réparé (réfection de la salle des machines principalement).
Une fois mis en service, il inaugure dans un premier temps le nouveau service de GNV entre l'Italie et l'Albanie à l'été 2015. En hiver 2016, il effectue des traversées entre Gênes, Barcelone et Tanger et sert au printemps de centre de conférence au Maroc, dans le port de Dakhla. Un mois après, j'embarquais pour une traversée d'une vingtaine d'heures entre Gênes et Barcelone. |
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Janvier 2025
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